« Véra Morosoff » : différence entre les versions

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"Fin 1948, les lecteurs de l'hebdomadaire "Tarzan" découvraient un dessinateur de western dont le style n'était pas sans rappeler celui de Fred Harman pour Red Ryder. Cette bande "Jesse James le bandit bien-aimé" était l'adaptation, par Fronval (texte) et Véra (dessin), d'un film qui venait de sortir. La même année, dans la collection "Supplément à Tarzan" apparaissait un nouveau justicier masqué "Cow Boy X l'homme sans visage"(scénario de Lucien Bornert) qui continua ses exploits dans le PF "[[Super Aventure]]" (1951-52). C'était signé Véra, signature qu'on retrouve aussi dans des RC de la collection "Fantôme" et ensuite dans-la collection "Aventuriers d'aujourd'hui" avec "Skim chien loup" (1949-51), puis elle semble avoir disparue. Sa brève carrière s'était déroulée presque uniquement aux éditions Mondiales. On pourrait supposer que, vu les thèmes: aventures et actions, il s'agissait d'un dessinateur, or ce n'était pas un pseudonyme mais bien le prénom d'une femme, chose rare à l'époque, qui oeuvrait dans la BD. Véra Morosoff, était une petite blonde charmante, russe blanche émigrëe, qui avait gardé son accent typique. On trouve sa trace, avant-guerre, dans “Les Grandes Aventures" (Coco le terrible) et dans un album édité par ce journal "Sancho Pan-ça", mais là elle avait un style humoristique."
"Fin 1948, les lecteurs de l'hebdomadaire "Tarzan" découvraient un dessinateur de western dont le style n'était pas sans rappeler celui de Fred Harman pour Red Ryder. Cette bande "Jesse James le bandit bien-aimé" était l'adaptation, par Fronval (texte) et Véra (dessin), d'un film qui venait de sortir. La même année, dans la collection "Supplément à Tarzan" apparaissait un nouveau justicier masqué "Cow Boy X l'homme sans visage"(scénario de Lucien Bornert) qui continua ses exploits dans le PF "[[Super Aventure]]" (1951-52). C'était signé Véra, signature qu'on retrouve aussi dans des RC de la collection "Fantôme" et ensuite dans-la collection "Aventuriers d'aujourd'hui" avec "Skim chien loup" (1949-51), puis elle semble avoir disparue. Sa brève carrière s'était déroulée presque uniquement aux éditions Mondiales. On pourrait supposer que, vu les thèmes: aventures et actions, il s'agissait d'un dessinateur, or ce n'était pas un pseudonyme mais bien le prénom d'une femme, chose rare à l'époque, qui oeuvrait dans la BD. Véra Morosoff, était une petite blonde charmante, russe blanche émigrëe, qui avait gardé son accent typique. On trouve sa trace, avant-guerre, dans “Les Grandes Aventures" (Coco le terrible) et dans un album édité par ce journal "Sancho Pan-ça", mais là elle avait un style humoristique."
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== Auteurs de l'article ==
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* [[Utilisateur:Doc Mars|Doc Mars]]
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[[catégorie:Dessinateur]]
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Version du 9 juillet 2025 à 10:38

Vera Moroff artiste russe née en Russie en 1899 et décédée aux États-Unis en 1991. Mariée à un autre artiste russe célèbre, elle quitta la Russie pendant la période difficile de la révolution et se rendit en Italie pour étudier, puis à Paris où ils peignirent et vécurent pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils émigrèrent aux États-Unis en 1951 et peignirent et exposèrent leurs œuvres jusqu'à la fin de leur carrière.

"Fin 1948, les lecteurs de l'hebdomadaire "Tarzan" découvraient un dessinateur de western dont le style n'était pas sans rappeler celui de Fred Harman pour Red Ryder. Cette bande "Jesse James le bandit bien-aimé" était l'adaptation, par Fronval (texte) et Véra (dessin), d'un film qui venait de sortir. La même année, dans la collection "Supplément à Tarzan" apparaissait un nouveau justicier masqué "Cow Boy X l'homme sans visage"(scénario de Lucien Bornert) qui continua ses exploits dans le PF "Super Aventure" (1951-52). C'était signé Véra, signature qu'on retrouve aussi dans des RC de la collection "Fantôme" et ensuite dans-la collection "Aventuriers d'aujourd'hui" avec "Skim chien loup" (1949-51), puis elle semble avoir disparue. Sa brève carrière s'était déroulée presque uniquement aux éditions Mondiales. On pourrait supposer que, vu les thèmes: aventures et actions, il s'agissait d'un dessinateur, or ce n'était pas un pseudonyme mais bien le prénom d'une femme, chose rare à l'époque, qui oeuvrait dans la BD. Véra Morosoff, était une petite blonde charmante, russe blanche émigrëe, qui avait gardé son accent typique. On trouve sa trace, avant-guerre, dans “Les Grandes Aventures" (Coco le terrible) et dans un album édité par ce journal "Sancho Pan-ça", mais là elle avait un style humoristique."

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